12.26.2009

Accourir...



" Jordi ? " Vol. 2













12.24.2009

Prête?


“ It is too short, Mine is for you.”


L,M












12.16.2009

Et maintenant, comment te sens tu ?


" Jordi ? "

Ce ne sera qu'un parfois, un parfois sans raison, un parfois sans concession. Je ne suis pas de ce qui s'entraine, qui se prepare avant l'orage. Fonce sans reflechir, et reflechie sans foncer. C'est toujours cette opposition qui l'emporte sans m'apporter aucune réponse. Et je " regarde a travers la vitre ", mais que m'arrive t'il ? Je ne sais pas, peut etre le faite d'être loin, d'être seul a comprendre ce qui se passe dans ma foutue tête, " Essaye de trouver une réponse." Mais où est elle ? Combien de tout ça est reel, a jamais. Je ne suis pas de ce qui se defile devant la réalité, devant ce qui m'effraie le plus. Le changement. Comment ne pas changer, je demande, je me le demande. Et il y cette stupide musique qui me reste dans la tête. La vitre est toujours là, vitre glacé. Glacé par l'harmonie, l'harmonie de ce passé. Ce " ce fus parfait ", mais combien de temps est passé, combien de temps est on passé seul assis? Assis sur ce canapé, sans comprendre ce qui nous arrivait. Je sais maintenant. C'est une urgence, un manque sans vie. Il se meurt sans interpretation finale. L'attente, de ce temps qui ne durera plus. Un chiffre qui defile chaque jour de Dieu, qui decroit, a n'en arriver qu'a la nulité, un Zéro.


Et maintenant, jusqu'aux Lendemains Bleues de Juin.
Allons, parfois. Pard...










12.11.2009

Oui, Patience.


" - C'est de se sentir seul dont il est question. Je me venge, m'arrange celon mes besoins. Je conquérie une plaine pour en chasser une autre. Mes pensée divaguent, cherchant toujours une réponse. Quand cela va t'il se terminer? Espérons qu'il n'y ait pas de fin, cet imcommensurable bonheur d'ignorance. Mais la volonté ne faillit pas, elle reste, et se dérange quand cas de Perdition Finale. A quand? Je vous le redemande, parce que j'etais dans le faux. "


Divagation de deux Corps Perdue, ecrit par Anonyme.




12.02.2009

" Mes sombres rêves. "



- A Quoi En Comprendre ? ( Ghost Of Love. )






11.19.2009

Comparaître devant Inconnu.





“Le paradis, soit même. ”

La nuit est douce, et le souvenir me revient. Ce sentiments de solitude inaccomplie. Il m'arrache a la réalité "imcompromise" du monde. J'entends les cris de mon moi-intérieur. Je deviens ce que je n'aurai jamais voulu être. Rien, l'attente. Combien de temps me reste t'il, combien de temps ce ressentie se conservera, quand s'expirera t'il? Je continue d'aimer, continue de penser, de courir. La plénitude provient de la nuit, et la douceur du vent hante mes sens. Vite, le temps n'est que poison.

A Quand, la question n'est qu'attente.....










11.17.2009

Atlantique.


“ Je pleure cette Peur de // Perdre. Ne pars pas. ”


Je cours. M'étouffant. Criant, ne sachant plus où aller. La Liqueur rentre en moi et ne veut pas repartir. Reste. Mais hurle de douleur à chaque moment où tu crois atteins. Je vous haie, Ne partez pas. Je ne sais plus ce que je fus, ce que j'étais. Diversion, comparaison ; Sans Raison. Simplement " Egaré " qui restera ce mot d'une transition qui n'en finit plus.
Reviens-moi, je t'en prie..



11.11.2009


" Vite "

Position d'une Modalité Surprenante,
Anonyme,
10-09






11.06.2009

Welcome Daydream in Blue.


" Toute transition a son point de vue, Vous m'avez manquez. "

10.31.2009

Prochainement





" Forcez moi que ça m'interesserai, aux alentours de minuit n'etait passé.
J'attends. Nuit Froide, Pensées Acres. Sourir faussé par la pluie. "





10.30.2009

Faille n°2.




« Je crois que j'ai un cheveux dans le cul. »


Modalité d'une Faille,
découvert par Ed. Sharpe,
le 27 Octobre 2009.











10.28.2009

Faille n°1.



« Laisse moi vivre sous ta peau. »


Modalité d'une Faille,
découvert par Anonyme,
le 27 Octobre 2009.















10.24.2009

Rien, ni Personne.





Pré-Regle N° XXXVIII:

Ne pas se permettre de tomber au combat.












10.19.2009

La Lettre.


" Ce n'est pas tant moi que mes pensées. Ce n'est pas tant toi que tes idées. Il y aura toujours un part de mensonge, une part de quelque chose qui ne tourne pas rond. Je suis clair, je suis précis, mais qui suis je? Aucun ne trouvera la paix tant que ça ne sera fini. On est coincé, piégé dans ce que l'on veut retrouver. Pourquoi? Parce que penser au passé, c'est comme se dire il était une fois. Et il en est pas question. Une question, tant d'abréviation. Parce que. Non je ne veux pas, ais-je l'air stupide. Oui peut être. Et alors. Ce n'est pas ce que je voulais. Qu'est ce que tu veux? Une lettre. Elle comment? Aussi longtemps que possible. Oui, c'est ça. Non je n'y crois pas, tu n'as jamais était comme ça. Si, mais pas assez. Alors. Il n'y a pas de Alors, juste des Ainsi. Je ne vois pas. Il n'y a rien a voir. Je ne comprend pas. Il n'y a rien a comprendre. Que veut tu dire? Rien, je ne dis rien. Que penses tu. Tout. Tout? Oui tout, je pense tout en une Lettre. Mais, c'est concevable. Je ne sais pas, la preuve en est. Tu vois. Je vois. Alors, c'est pour bientôt. Oui, je crois bien. Ce bientôt est tardif. Tu te contredis. Je ne peux pas me contredire. Comment. Je ne sais pas. Alors tu te contredis. Oui, sûrement. A ne plus savoir ce que tu veux/peux. Je sais ce que je peux, je sais ce que je veux. Alors que veux tu? Une lettre. Toujours la même hein. Pourquoi ça changerai. Je ne sais plus, tu te contredis. Et. Et tout cela n'a pas de sens, tu l'as toujours su. Rien n'a de sens, tu le sais. C'est dans ta tête ça. Non. Bien sur que si, tu sais que ces gens se base sur des principes. Tu crois que je suis sans principe? Non, je crois que tu n'as pas de base. J'ai une base. Que sais tu des bases et des principes de toute façon. Rien. Ah. Tu sais. Dis moi. La simple base. Il n'y a jamais eu de simple base. Qu'est ce que tu en sais. Je le sais. Tu ne peux pas le savoir, regarde toi. Je me regarde. Mieux. Comment mieux. Pas simplement ton aspect. Qu'il y a après l'aspect. Sûrement un autre toi. Je ne suis pas deux. Tu es deux. Non je ne suis qu'un. Tu es deux, et je suis deux. Nous sommes deux. Oui. Et la Lettre. Elle aussi. Alors nous sommes quatre. Non nous sommes deux. Je ne te suis plus. C'est parce que tu n'es pas moi. Affabulé, pour changer.

Qu'est ce qui change? Ni l'un, ni l'autre. "


Modalité d'un Désir, Modesto, XXXIX.







10.16.2009

Because We are scared.

" L'homme qui n'est pas là, ne danse qu'en nuit sombre. "
Modalité d'un oublie, Modesto, XXXX.












10.11.2009

Strikes Back Rules.


Règle n°XXXX :
“ Abandonner, c'est l'Envie qui fait cocu Volonté. “













10.09.2009

L'incapacité de vous dire Parce que.



Brume.
Mais à quoi son utilité, à dire je ne sais pas.








10.06.2009

City Of No-Silent.

" Let me in my Silent. "
" - Allons Jordi, allons ensemble voir ici.
- Un peu par là, car je ne suis pas.
- Allons Jordi que t'arrive t'il, à quoi penses tu?
- Je ne pense a rien, je ne peux pas penser, m'identifier a quoi que ce soit.
- Allons Jordi, que se passe t'il, tu me sembles bien loin. Allons Jordi où es tu?
- Je ne suis plus là, seulement un peu plus loin a attendre.
- Allons Jordi qu'attends tu?
- Nous le savons parfaitement.
- Allons Jordi qu'est ce que ce visage ?
- De la peur.
- Allons Jordi, n'est pas peur.
- Si j'ai peur, peur de tout, et de rien, mais ce rien.
- Allons Jordi, le rien est rien.
- Justement.
- Allons Jordi, tu me fais peur.
- Non tu n'as pas avoir peur, plus maintenant.
- Allons Jordi, pourquoi dis tu cela? Allons Jordi, me le promets tu?
- Oui, je le promets.
- Allons Jordi, ...
- Allons Modesto, tout va bien aller, Jordi est de retour, et cette fois il ne vous laissera pas tomber.
- Mais Jordi, ...
- Il n'y a plus de mais, seulement une vue pour aprés, et tu sais trés bien ce que c'est.
- Oui je le sais Jordi.
- Alors, elle aussi. "

Dialogue à LMMW.











Et merde.

10.04.2009

10.01.2009

Il suffit de vouloir pour pouvoir, non?


" Et puis c'est comme ce rêve qui s'achève en plein milieu d'un cauchemar. Tout ce mélange, les pensées changent, et les gens avec. On se dit que tout restera identique, que dans 20ans je serais beau et fringant, mais laissez moi vous conjuguer au futur. C'est ainsi que je ne parle plus, que je n'existe plus, que je suis partie. Aussi loin que j'ai "pu", et ainsi j'ai "vu" ce que c'est. Ce truc dont je savoure l'amertume, je le haie tout en l'aimant. Il m'offre ce que je rejette. Les émotions impulsive.s Les créatrices de sombres images, l'avènement de intersection personnel. Je suis 4, vous êtes 9, et lui est 3. Je ne sais pas, je ne sais plus. Je vagabonde et me dis que ça va revenir, que je vais revenir en 4. Mais vous, seriez vous toujours en 9, et lui en 3? Surement pas, peut être pas, oui je crois, c'est a voir, j'en suis persuader. Je ne dis pas que je connais ce qui va se produire, je dis juste que c'est injuste, j'aimerai mettre sur pause, le temps d'un regard, le temps d'une conversation, le temps d'émotions. Je reçois et j'en renvoie. je dirige, et je néglige. J'outrepasse mes fonctions, et tout cela sans aucune ponctions. Sans se demander tout ce que ceci veut dire, c'est du grand bordel, ma tête changent, mes pensées avec. On murit, je finis au fond d'un caveau. "

Est-ce que vous comprenez maintenant?
















9.28.2009

Messages au Dérivées.



" - Mais qu'est ce que tu fous putain? "

9.25.2009

Let me see " la chanson du jour " ?


Il y a des moments où le choix n'en est pas un. Alors on fait avec, on s'adapte, et se transforme en un espece de truc qu'on ne connaissait pas. C'est mon cas, je m'apelle Modesto et je suis heureux comme ça. On ne pourra pas dire que tout est dans un bon mouvement, parce que l'aspect physique de la chose est pas forcement agréable. Mais vous savez au fond, ce genre de chose, c'est du puritanisme de la volonté. Moi ce que j'aime dans ma vie ici, c'est de ne pas savoir ce qui m'attends. Parce que j'en ai complément aucune idée. Et ce-ci pour tout, M, vous, et moi.
Je veux certaines chose, bien profondément enfouie, et la volonté, putain que je l'ai. Je veux juste pas balancer des paroles en l'air, vous voyez ce que je veux dire?
Regardez par exemple ce putain de discoure qui est uniquement banale, le plus standard, et lisible dans l'histoire de mes pensées. Va falloir qu'on m'explique, parce que j'aime bien penser avec ma tête, personnelement. C'est comme quand Zenit rencontre Holga, ça donne quoi, j'en sais foutument rien. Et ça va être drole parce que 88. C'est juste la moitié.



Aller, c'est qu'un jeu.
( Le bon, la brute, et la Perdition (+Attendre.) )

9.24.2009

MMM,.





" XXXXIII "
















9.17.2009

00:00 PM, HERE.


"Aux alentours de Midnight.."


Vidé, je suis vidé de toute émotions. Obscurcir, sourir, se souvenir, enrichir, s'approprier, tout ça sans s'expliquer. Comprendre, sans rien penser. Rechercher sans pour autant par curiosité. Je ne vis plus que la nuit, le jour je me meurs. Je dors, je rêve, de quoi je ne sais plus. Du moins je l'ai vécu sans rien en savoir, s'en souvenir. On rêve tous, on a tous des moments extraordinairement ordinaire, mais on ne s'en souvient. I used to be someone around midnight. Quelqu'un aux alentours de la moitié de la nuit. J'avais l'habitude d'être heureux, de paraitre en costumre, en oubliant la parure des jours malheureux. La nuit, je suis celui qui ne peut pas, comme celui qui ne dors pas. J'en perds la mémoire, j'enchaine les miracles, et je ne pense qu'a retourner au allentour du MidNight. Je ne meurs que pour revivre, la nuit est mon jour et je suis son detour.

Faite moi oublier tout ce que vous voulez, mais par pitié, ne revenez pas.


Requête d'un traité bien trop dépassé.












9.16.2009

44 Dimanches

" XXXXIV Dimanches tout au plus. "


Je promets trop, j'interprète trop, et au final je me rend compte que j'ai rien. Plus grand chose de vivant, tout est devenue livide, immatériel.
Tout est partie, Reste la Mimosa.

- Volonté, Vol. 2










9.09.2009

HPNS

Il est plus onze heures, et la vie n'est pas plus simple ici. Tout vos problèmes sont plus gros : "ce que tu apelles une mer, ils appeleront ça un lake". Et tout ce transforme ainsi en un monde plus vaste, plus effrayant, plus "+". Ce qui est sur : c'est que je ne suis plus à la mer.

Le A Quand? est passé, maintenant, c'est plus au A bientot? de venir.

Je serais toujours plus à la poursuite.
(HPP'N'SS)



"Hi my name is Joardi, and I am more a little boy that's you can think, and I lost more than everything. I'm more in your Giant World. And Nice to meet you anymore. "

8.24.2009

09/02/2009

" Je vais en chier. "








8.16.2009

Méprise toi-





" Donnez moi ma dose d'activité, vite. "



On perd tous patience, on a pas la capacité de se dire : j'attends. Alors forcement, au bou d'un moment on se ramène a ce qui devrait être naturel, la violence, l'exces, et la reflexion. Je vois pas, j'interprète, maintenant ça va mal, jusqu'a ce que je sache.
Tant qu'on est dans l'ignorance, on se jete dans un bain de pensée agressive. On imagine le pire, On redoute n'importe quoi. Alors que rien. C'est simplement nos putains de pensée qui se dise : merde.


Et toi, t'es là comme un con à te dire que t'es H.S.










8.09.2009

"- Do you want to hear my talking Dog?"


" On ne sait jamais sur quoi on va tomber.
Et vous vous tombez sur quoi ? "









8.08.2009

À quand, vraiment ?


" Au diable les promesses, j'ai la quinzaine offerte. "


Modalité d'une organisation.







8.06.2009

.....................




" Il y a des gens qui le disent, autant qu'il le pense.
Pensons pour dire, et dis le pour le penser. "



Je ne dis rien, je ne pense plus.
Prend, et ensuite tu sauras ce que c'est. Les émotions se partagent et s'accumulent. Tu les sens, et quand ils sont fades et insipides, tu te dis que tu fais mieux de te taire.
Tu le ressent jusqu'au bout de tes doigts, de tes veines les plus profondes. Et ça finit bien par monter. Seulement quand ces sentiments sont bons, tu les gardes en mémoires, et c'est ensuite qu'ils te manquent.
La nostalgie, c'est trés mauvais. Et je la sens venir a plein nez durant mon trip qui ne durera pas qu'une semaine.


N'insistons pas, je n'arrives même plus à en être triste.









8.03.2009




Le bonheur est fait pour être compensé par le malheur.
Toute compensation demande sa deuxième parts.










7.15.2009

C'est simplement que ...


Le moindre mot.
L . E . O . N












7.09.2009

The FIRST REBIRTH.


C'est très mauvais, je n'ai pas du tout les bonne réactions. Je ne suis pas le même et comme toujours je rétorque, suis je quelqu'un? Bon sang, je vais me sortir de là. pour le moment je suis dans la boue avec son pied qui me retiens, on se raconte la rencontre?
C'est farouche au point que ça m'effraie. On marche et puis on court, c'est enfin que l'on se dit que marcher est plus enrichissant. On a beau se dire que c'est imparfait, la perfection est dans l'imperfection, et l'imperfection dans la perfection. Rien n'est bon, rien n'est mauvais. Et puis de toute façon ça serait pas drole. On me fait mal, j'apprécie. On me dit " Comment vas tu? ", je lui en colle deux. On est tous dans la foutu contrariété, dans l'obscene et désagréable vengeance du regard de l'autre. Ce que j'aime dans le vie c'est " l'amour et la violence ".
Aprés tout pourquoi pas hein? Allons s'y tous en coeurs, chantons a l'avenement de la mort de tout a chaqu'un et quand on se dira : " ça va ? ", on repondra : "la ferme ".

Et tout ça pourquoi?
Pour ça.












Sssss0.2


« FIRENIGHT »

J'ai plus la foi, ça va prendre un peu de temps.
Bonne cuite.

7.05.2009

XXV.VIII.IX


« Heaven and Hell »

Il faudra que l'on m'explique, le principe des coïncidences, les heureuses et les malheureuses. Le principe des dates qui tombent mal. Celles qui tombent bien.
Ça va être dur, en cassure, en bordure, à l'aéroporté. Bon dieu, Toulouse, Paris, Houston, Dallas, RockWall. Bonsoir la France, Bon matin les US. Le principe que rien n'arrive par hasard, la coïncidence c'est hasardeux. Et je suis un biscuit pour gamin qui va se retrouver dans la bouche du petit Obama.
Et puis tu sais, la nostalgie n'a jamais tué personne, juste les étés, et ses hivers. Sans personne, ce seront des gens "jetables", je m'en sers un an et je ne vois plus rien. On me le retire. Je suis un biscuit pour gamin qui n'aime pas abusé des gens.
Il faudra que l'on m'explique le pourquoi, alors que je n'ai jamais eu une réponse a un comment. Le principe du " comment, pourquoi, je sais ". Ça va être dur, en amure, avec un o en plus. Il ne faut pas se confier la tache de se dire " Voila. ". Vous, nous, je. Bonsoir à vous, je ne vous revois plus. Et je suis un biscuit pour gamin qui va fondre dans son paquet.
Et puis tu sais, un voyage n'a jamais tué personne, juste ça. Et ça..



25.8









6.29.2009

****/////////***********///////////////////////////


« Va falloir faire avec, quand seulement j'ai su faire sans. »
A voir, sans contusion, sans approbation.











6.17.2009

CHANGING STATION




«C'est simplement quand le sourire courtoise son ami l'abrutie.»

Et puis c'est ce sentiments d'incertitude qui reprend le dessus. C'est le contraire dans son inverse. Soit l'un soit l'autre. L'opposé ou l'opposant. Sauf que là, ça change tout. Le sentiment du sentiments compresse, s'ordonne de ne pas passer. Oui, Non? J'ai toujours su que la modalité serait dans l'incertitude. Que de toute façon, ce que je prendrai pour de l'affectif, je le mettrai au compte de " l'innaffectif ". Alors c'est maintenant que l'on devrait me dire qu'un x est x, tant pour moi ce fus un z. On ne me dira surement pas que z n'était pas x. Mais pourtant deux opposés. Comment veux tu que je te parle de cela, quand je ne sais pas a quoi ses mots font référence pour toi? Ce que je ne pourrai te dire en deux signes, je te le dirais en cinquante. Et puis ce que j'essayerai de te faire comprendre en six. mais là n'est plus la question. Comment savoir, classé, et remettre les choses a leur place. Puis-je savoir à quoi font référence toutes ses idées du passé? Je ne le garde pas en mémoire, et n'en aurai pas. " Le passé n'est plus. "
Alors dis moi pourquoi jusqu'au moment où je ne serais plus. Tu.....









6.14.2009

Rien a ente..++++++


«+ + + +»
« Aujourd'hui, je ne sais pas. C'était différent. Il y avait ce truc qui me rongeait. Ce faux regard qui me hantait. Mais quelle âge a cette courtoisie? Je ne sais pas, et ne le saurais jamais. On pense tous a ce qui pourrait se produire. A cette ombre de lumière qui ne ressemble a rien d'autre qu'un pale vide. Ce tout n'est qu'un zéro, et je ne suis qu'un accompagnateur seul qui s'égare dans son être. Bon ou mauvais. Mal ou vivant. S'approchant par la plus grande des subtilités ce n'est plus la même chose, la même idée n'est plus. Cela ne ce regarde plus sous l'angle opposé. Le son sans musique, le silence dans le bruit. Le soir de ce jour ne me ressemble pas. Il marque une fin, un début comme chaque renouveau qui juge une histoire fini. Ce n'est pas de la glace qui gèle mon sang. Ce n'est pas du feu qui s'illumine dans mes pensées. C'est ce que je n'entendrai pas, ne verrai, et sauvegarderai. Qui dort ici, qui prétend être ce qu'on ne peut entendre. Il est l'heure. Là même heure. Un jour particulier qui ne se remarque pas, mais qui s'entend et s'ajoute au fait divers des faits particulier de mon répertoire. Je bois, je vois, et je n'entendrai que ce que vous me ferez croire. Prouvez moi l'inverse, et je saurai quoi en tirer. »

13/06/09, 2h57











6.04.2009

Harmonie + Plaisir


« Ce n'est pas de ma faute. »
« Je sais pas, sans plus savoir. Je ne pense plus, sans penser. Il aurait peut être fallu que je me taise, que je ne compromette pas un équilibre. Que je reste dans ma chapelle a crier a la foi. Seulement je n'en ai pas. Je pleurais en sortant du cinéma. Pas parce que j'allais rompre cette équilibre, parce que j'étais dans le doute. Comment peut on vivre sans fabriqué un mal. Sans ce dire je suis honnête avec eux. Je ne suis pas honnête, je ne le serai jamais. Admettons. Le simple fait de pouvoir être ce que je ne veux pas être. Faire ce qu'il est absurde de faire. " Ce n'est pas de ma faute ". Non, ça ne l'est pas. Je change? Ou ma perception change? Je deviens moins sensible, ou sensible qu'a une forme? Non, rien de tout ça, de tout ce qui me semblerait semblant a une critique de mon être. Je peux plus être comme avant. Les situations changent. " Je changerai toujours ". On dirait. Je l'ai dis, il y a longtemps. Trop?
Ce temps où l'émerveillement me claquait à la gueule. Aujourd'hui il ne se claque plus, ne s'étonne plus. Trop habitué?
Il me manque.. »










6.01.2009

Point 256.0



« Modalité 2 »

Février (02)
5 mois.
Juin
(06)









5.26.2009

Et pour quelques moments de plus.


« Que fais je ? »

« Souriant, nonchalant , j'avancerai sans crainte dans la plus part de mes regret. Je suis en tout et bonne conscience celui qui n'ira pas plus loin que son homonyme, je regretterai en regrettant. Pourtant je ne suis ni fait pour ça, ni fait pour tout le reste. un Rien dans sa Totalité la plus Vide. Je ne comprend pas vraiment, je fais semblant. Je ne suis plus trop, pourtant je suis au galop. Arrêtez moi si je vous heurte. Je ne suis plus, celui que je serai. J'avance a reculons, je recule dos a pile. Face a la crainte et le remord, je suis heureux. Choisissez ce qu'il vous plaira, je ne suis plus une possibilité. Simplement une perception d'imperfection visible. Groupez vous pour vous contraindre a la moindre des réalité, je suis celui qui fera partie de l'orchestre. Aurevoir M.Bonjour, Bonjour Mme Aurevoir. L'antithese de la vérité, s'accorde en fonction de l'égémonie de mes principes. Je perd la plus part de mes vérités, je merite plus qu'un mensonge. Que fais je?
Je recite vos principe. »



Modalité d'une vérité sourde, Anonymous, Chapitre II.









5.24.2009

L'équation à la Tristesse.


« I find it. »

La discutions ne cessera jamais. Ce n'est qu'un être de pouvoir, puis-je ou ne puis-je pas? Je ne voyais qu'une solution, c'était un non. Un non proportionnel a mes forces, et mes capacités. Mais le problème ne vient pas de moi, il vient du monde qui nous entoure. De ce qu'il fait de nous, de ce qu'il décide pour nous. Que suis je? Rien, un non face a l'adversité du sentiment. Le seul qui fait vivre l'infinité. Concevoir le monde sans, c'est concevoir le diable sans enfer. Simplement, non.
En trouvant ce que je n'aurais pas du, je suis maintenant dans la plus belle des affreuses situations. L'équation à la tristesse///////END.













5.23.2009

2.565656565656565656..




« Le paradoxe. Même dans le plus grand des bonheur, on se tire dans la tristesse. »


Pourquoi ? - Je sais, pourquoi.











5.16.2009

♠♠♠♠♠♠♠♠♠♠♠♠♠


“ Interpretation Absolue; Laisser sa Trace; Je replonge. „




5.13.2009

5.11.2009

They.



« J'aime a penser que parfois, il est nécessaire de faire abstraction de l'interprétation omnisciente. Que trop souvent, il est inévitable de se retrouver isoler dans un espace temps. Que quelques fois, il y va de notre vie de savoir nous masquer. Que tôt ou tard, il faudra se rendre a l'évidence, que Bientôt sera mon maître mot.. »
Modalité d'un Temps qui s'arrete ici, Anonyme, 10:45.












5.07.2009

5.04.2009

*************



Impartageable. Inéchangeable. Dommageable. Envisageable.
Mais pas Négligeable.

« K. »












5.03.2009

A+Wolf+At+The+Door.



« Et coupez! Allez tout le monde, on se la refait une derniere fois ! »




Modalité d'une modalité, 02/05/09, Anonyme.










5.01.2009


« ⅜ + ∞ » = « f(x)= 5x - 4 »











4.30.2009

////////////////


DAYS « CVI »
HOURS « V »
MINS « XVIII »
SECS « I »

« C'est bientôt le temps des Sans Jours. »