1.22.2009


C'est en essayant de comprendre que généralement on se perd. Pourtant il m'est impossible de concevoir pouvoir différencier ces deux notions, pour moi comprendre c'est perdre. Expliquer en devient mourir, ce n'est pas que je sois triste ou que l'emprise de cette émotions me fasse perdre mes moyens. C'est simplement que je ne veux plus comprendre pourquoi. Savoir, éduquer, entendre sont synonme de perdition totale et incomparable face a tout ce qui m'entour. Essentiellement elle. Pourquoi suis je comme ça a son egard, pourquoi mon conscient se prolonge dans l'irrationel? Je trouve en cela tout ce que je n'aurais jamais eu en quelque année. Un brevage, un elexir, une boisson non alcoolisé qui se formerai à deux cents cinquante six émotions. La Passionata, redoubler de prudence quand celle ci te tombe dans le couloir. Ne te defile pas, reste. Compliqué et pourtant si simple. Je ne suis pas de ceux qui apprehenderai ce genre de relations individuelle a deux, je suis de ceux qui ne comprendrons jamais ce qu'est l'individualisme primaire, et sauvage. Je me suis dans toute mes reflection, j'entend toute les paroles, tout ces chiffres qui crient au seul regard que je leur porte. Puis soudain le hasard vient boulversé toute cette rationalité qui m'avais jusqu'alors diriger. Prise de conscience, il est 17h. Mise en examen, 18h. Bonsoir, nous sommes le 22 janvier.