4.30.2009

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DAYS « CVI »
HOURS « V »
MINS « XVIII »
SECS « I »

« C'est bientôt le temps des Sans Jours. »









4.27.2009

4.26.2009

A Quand?



« A Quand ? »

Mimosa aujourd'hui je t'écris ces quelques pales lignes, pour te raconter.
Je ne suis pas de ceux qui réfléchisse, de ceux qui pense avant de faire preuve de leur action. J'agis sans le moindre consentement morale et idiomatique. Ce soir Mimosa tu n'étais pas là, ce soir j'ai du essayer de comprendre, de paraitre, de sourire. Et pour quelles raisons ce sentiment altérait mon ressentie? L'alcool, surement. Allons ce n'est pas ce que je pense, il fut un temps où penser à cela ne m'aurait pas effleuré l'esprit, la peau, la suite. J'en ai la chair de poule, la lourdeur se fait sentir a travers chaque mot que j'employais. Rien, un vide . Je titube mais ne pense plus. C'est la fin d'un ressentie, surement le commencement d'un autre. Longtemps j'ai cru qu'écrire servirait, que marquer des pensées abjecte sur un clavier aiderait. J'y ai cru et le crois encore. Il ne me reste plus grand chose de la magie qui s'opérait dans ma tête, elle se remplace sans être rejeté, simplement étrange et improbable. S'effaçant, j'opère dans le plus grand silence que tu brises. Ce n'est pas pour autant une chose négative à mes yeux, tu cherches juste a comprendre, a me faire avancé. Je crois que je n'ai jamais été aussi si clair, l'ambiguïté des noms disparait pour laisser place a la clarté de mes propos. Ce soir je rentre seul, comme un an auparavant. Les moments changent, les gens, les sentiments qu'on éprouvent pour eux aussi. S'il en ait un qui persiste c'est bien celui-là. Je ne me lasse pas, Mimosa. Je ne sais pas si je suis le même, ais-je déjà été quelqu'un? Celui qui ère, et qui se cherche, à en savoir constamment s'il restera un vide. Passé d'un coté, a un autre est surement une chose facile face a l'obscure façon d'être soi-même. Ce soir le son n'était pas aussi criant, brillant, chantant. Il résonnait dans mes tympants comme le cri éternel d'un sentiment amère. Celui que d'être là, ne pas savoir. Les règles instituées sont un engagement si dure, et si inflexible qu'il ne peut être autrement. Ma vue se trouble sans pour autant être incompréhensible.
Gargantuesquement manichéen.
J'avance sans voir, la bué, la rué vers une chose méconnue, juste un aperçu.
Mimosa, aujourd'hui fut le printemps, ce soir la rosée.









4.23.2009


« J.F.K. »

Il y a une certaine nostalgie dans le nom de Kennedy.







Silence Vol 3


« On High in Blue Tomorrows »

Je marche pour ne pas avoir a courir trop lentement, les Lendemain Bleus me dérangent et me devancent. A en croire ce que les rumeurs populaires disent, les gens changent. Je n'y crois plus.
La peur, ..
Croyez moi, j'ai peur en ce 113 jours, 23ème heures, 20ème minutes et 20ème secondes d'attente.
Et maintenant place au silence.








4.17.2009



« Lancez-vous dans les ronces, c’est un voyage qui a de l’allure »

Mais oui ! J'aime ça.










Grand Panda - 88 ( Tokyo Remix )

4.15.2009


C C L V I


« On avait tenté de me préparer, on m'avait dit que c'était chose simple, on m'avait raconté, mais sans me faire voir. Il fallait que j'aille, que j'explore, sinon quel intérêt. Et puis un jour j'ai débuter dans le domaine. Elle eut l'idée, et j'eus la mienne. En une semaine le liquide qui me transforma fut répandu, en une semaine ma vie s'éclaira. Voir, soit vivre. Vivre, soit jouir. Si idyllique que j'en perd la mémoire, si magique que j'en ai gagné les émois. Et puis, j'ai du tout quitter, tout sauf ce sentiment magistral, une ouverture a un monde parallèle, sans inquiétude, sans mœurs. Seulement moi, qui pourrait survivre dans mon monde. Une onde, un monde. Maintenant, je le domine et apprend a le gérer. C'est si beau, si hors de toute imagination. J'aime comment je me sens, comment ce que je vois peut être en rapport avec tel ou tel chose. Maintenant, il faut simplement que je ne le perde pas, il va falloir que j'accroche tout ce que je peux, tout ce que je veux garder avec moi. Bientôt, oui bientôt. Le temps cavale, il m'avale et m'engloutit jusqu'à me ronger les os, et les idéos. Une lutte entre monde et onde temporelle. Elle le verra, elle reverra, ce qu'elle a du surement voir. Je n'ai jamais voulut croire que j'étais le même, je ne suis pas ça. Et pourtant, cela se résume a être, a devenir, a croire et non espérer. Parfois il m'arrive de mendier a moi même, ce sentiments. Je me l'impose, le repose et pleure. Je pleure de ce que je ne peux ressentir, il y a des choses a ne pas dire, a ne pas faire. Se taire, c'est se sauver. S'interdire, c'est se venger. Il ne reste plus qu'a espérer que je t'espère pas. »


Modalité d'un traité de Février, Anonyme.









4.14.2009

Nuclear Mother Fucker, Uh.



« Sale Putain. »


J.O.K.E.
( Journey Of Kicker Expedition )











4.12.2009

Affres des joies Humaines ou l'abjuration des Pensée.

Avez vous déjà songé a cesser d'exercer votre pensée, ou du moins tenter ce que personne n'a réussit a faire de son raisonnable vivant?

Il a parfois des choses qu'il ne vaut mieux pas comprendre, expliquer, surtout s'expliquer. Le temps passe, quelque fois trop vite, il s'écoule, on s'écroule. Calmez moi mon père car je ne sais plus de quel raison il est question. Je m'enroule alors dans ce que j'appellerai l'attrait positif de l'abnégation, je sacrifie pour recevoir. La conscience personnelle du monde qui m'entoure semble distraite par un millier de chose, la première étant Vous. Vous êtes si différents, si attrayants, toutes émotions s'évaporent de votre corps à la moindre chaleur. Allons il me faudra reprendre mes esprit pour perpétuer ce que je fus, étais, voulais devenir. J'en suis loin, si loin que le quai d'Orsay se retrouve sur mon nez, et vous êtes toujours là.
Conclusion : Ne pensez a rien, c'est voir ce que je ne veux plus voir. Ne plus pensez, c'est entrevoir la luxure. Oublier ses pensées, c'est être
luxueusement aveugle.