2.07.2009






Maintenant que la chance m'est passée sur le corps, rien n'est plus du destin. J'abrège silencieusement ce qui pourrait être un désir irréel. Je ne comprend pas, et je ne comprendrais surement pas ce qu'il y a en moi pour décrassé de telle situation.
Faites moi plaisir la prochaine fois, donnez moi dix claques et renvoyez moi chez moi.

Je la vois à coté de moi, en me disant que ce n'est vraiment pas possible. Que le malin génie se fou de moi comme il se foutrait de Descartes. J'entends son souffle et sa voie qui étends des paroles : " Pourquoi ? ".
Comment voulez vous expliquer ce qui appartient à la nature même d'une personne. Si ce n'est qu'elle m'inspire, que sa peau, que sa voie, que son odeur, que son souffle, que son regard soit aussi particulier. Allez expliquer à un aveugle, le pourquoi du comment il sentirait ces vapeurs dociles et fabulatrices. iI ne l'expliquerait pas, il le vivrait sans rien dire tel l'aveugle qui en devient muet.


Rendez moi la parole, j'hallucine.