3.03.2009

Sous venir se deploie des souvenirs


Les lignes portaient le noms d'Angora, ces courbes si bien dessinées animaient une joie paresse. Je fis un tour, seul. Quand à la seconde fois, il me perçut que ce signe n'était en rien positif. Comprenez moi bien, il n'est pas plus dur que de savoir une fin, ce mot rappellerai un présupposé Destiné. Et pourtant c'est bien une des règles essentielles en ce jeu. Tu vis, tu souris, tu fais.. Je ne destine personne, j'attends. Puis - et je le sais très bien - ce futur déjà énoncé, me forcera à faire marche arrière. A voir les choses différamment. ( Je cru pouvoir oublier, mais ce vécu m'empêche. La sonorité de ses quelques paroles, retentissaient en moi comme une hachière bouchère, elle te crève. Seulement la nuit. Comment ce fait il que je ne tiennes pas compte de ce " Avant "? Est ce simplement de la pitié. Écrire son prénom ne servirai a rien, même elle ne devrait même pas ce reconnaitre, personne. Quand bien même je le dis, je puisse l'écrire. Elle manque a tout a chaqu'un, ni moi, ni lui. Le son grave perd alors de son effort, de sa grandeur. ) Peut être que je n'ai pas su, il faut pourtant savoir. Maintenant ne me comprenez plus, il n'y a rien de bon, d'appréciable. Le juste mot, serait un juste milieu entre compréhension et contemplation. Mais pardonnez mon indiscrétion, je haie les femmes..

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