12.29.2008


Tu pars en sachant que tu ne reviendras pas. Tu laisses sur la banquette arriere toutes ces putains de frites saucées barbecue, tu sors de cette caisse en laissant tout. Là, sur le trotoire tu rencontres celle a qui tu t'attendais le moins, ta putain de daronne qui te raconte mille et une conneries sur le faite que tu ais laissé le CheeseBurger sur le tableau de bord. " Putain mais conasse ça t'arrive de la fermer ? " te sors de la bouche tel un jet d'acide de l'araignée. En suivant tu la baffes, et tu lui dis encore une fois d'aller se faire mettre par son mari. En descant la 21eme, tu te rends compte que t'es pas du tout à Maryland Avenue prés de l'Arboretum National des USA, " Pute de Washington, si je la trouve jl'encule ". Tu cherches desesperement un endroit où boire un putain soda frais, mais cette envie s'echappe vite quand à la vu du beau fessier de la black qui passe deriere toi. " Fuck it " te vient a l'esprit. Pourquoi tu te retrouves là, tu sais pas mais tu sais que tu y es. Pourquoi es tu grossier, tu le sais encore moins mais ça t'aide a rester con. Et finalement tu te dis qu'etre inscouscient au point où tu en es c'est plus important. T'as le salaire d'un chef d'Etat Africain, tu sors d'une université renonmé, et en plus ta fiancé c'est la fille du président des Etats Unis d'Amerique. Alors a quoi bon?
CCLVI

12.27.2008


Vous connaissez?


Enfaite j'avais raison, ne pas se mentir : être droit, être déterminé, et confiant. Aujourd'hui j'ai appris cela. Demain j'apprendrais à le rester. Je suis sur que l'effet boeuf qu'elle me fait aura des repercution. Trois, quatre, cinq et s'en suit. Elle m'ecrivit tout le chemin. C'est la même en tout. Le debut et le meme, le pré début est le meme. Expliquez moi, je veux comprendre pourquoi je suis devenu comme ça? Mens, mens, mens. MENS! J'ai dus me dir un truc. De ce style là a mes -4ans. Comment je sais pas, en tout cas j'en suis venu a me mentir a moi même et a mentir a mon mensonges, surtout d'y croire. On croit tous en soi, raisonablement certe, certains moin et tombe dans la deprime, ou font un tas de chose complement inscncé. Je pars, je m'eloigne, "CCLVI", " 28469" et j'en passe. Inscouciant ou déterminé il faut remettre a ce qui est son proprietaire. L'aimé? Je suis sec. Aprécié? Comprendre. Choisir? Finit. Changé? Aprécié. S'enchaine et se relate, tels sont les salopard qui se sont inicié dans ma salope de saloparde de vie .

Demain, je mes en pratique.

12.20.2008


Réfléchis s'y.
Bonne chance.


PS : Ne m'en veux pas.

12.16.2008



"Nondum amabam, et amare amabam"

" - On se lance, aujourd'hui j'ai appris que surement je partirai ( courant juin, juillet ) au Canada toute l'année 2010 - Je sais les chiffres ont de l'importance, si vous êtes comme moi un un pété du crâne - Mais allons ne cherchons pas midi a quatorze heures. Je ne suis sûr qu'a 59%. Et puis, il faut bien que je me détache de tout avant de partir a Paris. Vous avez beau lire les conneries insensées que j'écris ( Et puis de toute façon qui les lisent? Personne même pas moi. ) il y aura toujours une parenthèse. On s'en balance, c'est bientôt la fin. Le blanc, c'est pour la neige. La musique, c'est pour le "fun". Mais putain arretez vos debilités les mecs, c'est trop bon quoi. Ecoutez moi ça. Vous savez un jour mon grand père m'avait dit qu'il faut attendre que les radis poussent pour pouvoir les donner a manger aux humains, dans ce cas là, c'est exactement la même chose.
Imaginons que je sois le radis, je pousse. Aller je mesure a tout peter 1m76, beh voyez vous, je suis prés a aller m'engraisser chez ces tarlouse de Canadiens. Non, il ne faut pas dire ça. Ils sont aimables et tout pleins de joie.
- Allons on s'en contrebalance de tes envies Modesto, dégage."

02h56.

12.14.2008


Je touche a des sujets sensibles au fond de moi, ils se comptent au nombre de 3.

Le premier est le péché de gourmandise, celui qui me dis que sans je ne serai plus rien. C'est tout pour moi. Je l'ai déjà gouté, mais j'en veux toujours plus. Ce gout est si savoureux que j'en redemandes chaque samedi soir.

Le second est le péché de l'avarice, celui qui me dis qu'avec je serais mieux. C'est bien mieu pour cela que j'attends. J'ai envie de le déguster, mais je ne peux pas encore. Ce gout je le sens venir en moi chaque jour de la semaine.

Le troisième est le péché de la luxure, celui qui me dis qu'avec ça serait parfait. C'est mieux mais difficile c'est pour cela qui je me pose des questions. J'ai les yeux pétillants de bonheur à vue chaque fois que tu la croises.



2+5-6=1
2-5+6=3
2+5+6=13.
Maudit soit ces chiffres.

Mario et Luigi, bons amis.
La laideur ne fait pas tout, elle est juste superficielle.

12.11.2008

C'est ce retour, celui que tout être humain attend. Celui du retour aux sources. Vous savez ce sentiment de déjà vu, celui qui vous entraine dans les méandres de la stupidité et de la niaiserie.
Celui qui vous berce inconditionnellement dans la beauté de la chose. C'est comme un flashback mais avec des ingrédients différents, à la place la mer et des soirées - c'est la route et les après midi. Peut être différents mais vous savez au fond de vous que vous serez toujours là pour entreprendre la même chose : grandir, murir, sourir. A elle surtout.

12.09.2008

12.07.2008


Chose immatérielle, excrément de passion, coup d'éclair si lumineux. Tu n'y crois peut être pas, mais moi si. Qu'on me dise que ce n'est pas elle, que je ne mérite pas cela, que je dois trouver mieux; peut être. Mais enfaite surement pas, pourquoi aller contre son désire, ses plaisirs, ses envies les plus éphémères? Dis moi donc toi, qui ne crois pas a ce sentiment le pourquoi du comment je suis tombé là dedans? Si tu es si intelligent que ça, tu trouvera surement une réponse a mes questionnements. Encore une fois, je vous avertie. Je n'y suis pour pas grand chose quand l'amour se mêle aux regards et aux sensations de bien être. Le regard fait tout dans une relation, de A à Z, et de 0 à l'infini. On ne prétends à rien, on choisit tout; Tu a prétendu a mon soutien, j'ai choisis son regard.C'est un tout qui fait la chose - Rafale, pour plus tard.

Vultus est index animi.

12.02.2008

Qu'elle me regarde dans les yeux, je veux bien. Qu'elle me sourit, je veux bien. Qu'elle soit présente, je veux bien. Qu'elle me dise comment elle va, je veux bien. Qu'elle mange avec moi, je veux bien. Qu'elle m'embrasse, je veux bien. Qu'elle sache que je la trouve belle, je veux bien. Qu'elle m'observe quand je suis à table, je veux bien. Qu'elle soit timide, je veux bien. Qu'elle ne parle pas, je veux bien. Qu'elle soit joli, je veux bien. Qu'elle soit charmante, je veux bien. Qu'elle est un regard, je veux bien. Qu'elle m'interroge, je veux bien. Qu'elle rigole, je veux bien. Qu'elle ratrappe mes erreurs, je veux bien. Qu'elle s'accroche, je veux bien. Qu'elle s'illusionne, je veux bien. Qu'elle sorte de sa vie quotidienne, je veux bien. Qu'elle marche, je veux bien. Qu'elle respire, je veux bien. Qu'elle écoute, je veux bien. Qu'elle soit punit, je veux bien. Qu'elle ait peur, je veux bien. Qu'elle se sente nouvelle, je veux bien. Qu'elle lâche pas prise, je veux bien. Qu'elle galère, je veux bien. Qu'elle soit amoureuse, je veux bien. Qu'elle soit un rêve, je veux bien. Qu'elle soit ailleurs, je veux bien. Qu'elle aime, je veux bien. Qu'elle déteste, je veux bien. Qu'elle s'énerve, je veux bien. Qu'elle m'agresse, je veux bien. Qu'elle finisse, je veux bien. Je veux bien, qu'elle veuille bien.


Allez, on se lance.
Dieu prenait pitié de mon âme.

12.01.2008

Hostage Vol 2.


« Cela ne s'arrête, elle ne le lira jamais. Elle ne sait pas encore. Qui suis je pour parler?
Cela ne commence pas, il ne le faut surtout pas. Il ne sait plus où aller. Qui suis je alors pour voyager?
Refoutez moi en place, putain.
Sans fin, elle m'a éblouit. Peut-être un jour aurais je le droit de partager du temps avec elle.
Qui suis je alors pour parler de voyage? Qui suis je pour voyager vers ses paroles?
Sans but, elle l'a vu dans mon regard. Peut-être un jour comprendra telle que le regard me tue.

Peut-être... »

De Saturne à Venus ecrit par Anonyme le 05/06/1991.