10.30.2008


« Elle m'anime et me calme. »

10.28.2008

Et ce soir...



...j'ai froid, je me rend compte que je suis abandonné. Seul au milieu de cette chienne de ville. Il me manque l'element essentiel pour avancé, liquide de merde. Amis ou pas Amis je ne sais plus, ce que je sais c'est que j'ai eu bien peur; Bien peur que ces fils me laissent reelement tomber,
"- On s'est endormit ".
Trop tard, c'etait déjà trop tard : Bande de fourbes.
Moi aussi je m'endormirai quand tu sera dehors, dans le froid, avec tes soucis. Il n'y a rien a faire que de ce prendre ça dans la gueule un bon coup de malaise. Les zombies avançaient comme des charognard dans les rues, je courais pour échaper a ces monstres, mais rien a faire, c'etait mon inconscient.

La Deception tout simplement - sentiment d'abandon et de haine envers ceux que tu as tant chéri - merci a vous pour ce moment qui est gravé dans ma saloperie de nuit.


THE CULT OF THE ZOMBI.

10.25.2008

On croit.


« Je ne suis pas celui que tu penses. »

" - Je crois entendre les chants des oiseaux.
-Oublie les.
- J'aperçois au loin les joies des enfants.
-Oublie les.
-Je pense y arriver.
-Certainement pas. "

GoldFinger, the Ki55 of death.
25/08 = 3.1


10.20.2008

Equation à deux inconnues.



Et c'est par l'inconscient que j'avance, une putain d'ambiance à la soirée - j'ai trop craqué - je me rechauffa au grés du feu, en ecoutant mon beat préféré. Ce salot m'a enculé sec, je commençait juste a me remettre mon dernier deal avec Mr.Oizo, coke sucker !
La journée qui suit fut un défoulement de toutes les sensations imaginables sur Terre, cette drogue m'a fait un effet boeuf - elle produit en moi la meme vibration que celle de Tetris - je monta au 13eme ciel.
Badant trop, je me suis dit qu'un petit retour a la case dealer me ferait du bien, 256€ de pure Weeds Beat bien méchante. Démonté par la sono, je rentrais chez moi comme un enfant qui avait perdu toute joie de ne pas vivre - Putain mais tu vas la vivre la vie ?!

Ce soir, c'est la chiste au complet.

10.16.2008

Les Appartements.


Et c'est repartie, j'entendis au tournant du couloir : " un plafond trop haut ,et une lumiere rouge pour la chambre n°13 ! " Quelle idée de gothique !
Cette piole était gargantuesque - décoré d'objet les plus subtils les uns que les autres, un parquet qui craquait , des boites à chaussure par milliers, et des chandeliers. - mais elle restait très blanche quoique quelque peu Mariniere.
Le truc : la tranche de patte a tartiné chocolaté sur le bureau, et cette vue sur des Chars D'assaut des Force de L'ordre.
Certes Karl était là.

10.13.2008





C'est comme une remise a l'épreuve, putain mais mec, tu captes? Tout ça c'est historique.

Complément fou, je passe du statut de vieux gueulard à la fresque sociale, merde alors, je m'en tire comment? Tu passes ta vie a rien comprendre, tu passes tes journées dans les sentiers battus de la ville a te lamenter de tes salles histoire de cul, prend le temps de prendre l'air et de te sécher les cheveux a coup de serviette Dior.
Non, sérieusement, tu vois la prochaine sortie a droite, prend là - tu comprendras mieux quand tout sera finit entre toi et elle - abrège tes souffrances. Je suis d'une hystérie, d'une connerie, qui m'enduit de plaisir, tu pourras toujours ragoter avec ta langue de vipère prost.
Je sais ma musique, vaux pas une miette, mais je te prend en levrette, même si je deteste. Aller sincerement Dégage creuvard.

( Ne pas prendre au pied de la lettre,
je suis heureux,
oh oui. )

Edit du 14 Octobre 2008 : Enfaite non rien.

10.11.2008

Marche, mais evite.


Cette nuit, je marche auprès d'elle, je galope car elle court. Elle accélère le pas, cadence, fréquence, alternance, et stop. Rupture. Silence.
Reprise de conscience il faut avancer pour être là, puis là-bas; et finir là.

Cette nuit, j'entends celle-là, j'écoute car elle chuchote. Elle ris, mais elle le fuit, vit,
poursuit, et finit. Gravure. Angoisse.
Reprise de conscience il faut avancer pour apprendre, et comprendre.

Cette nuit, cette nuit, méandre de sens; méandre d'absence, et d'infinie.


'ΛVJO,



10.06.2008

Attentat à la Ag+1.


Et ainsi se fit, ainsi je vis les gens soucieux de leur fausses idées. Je ne suis pas une bête, juste un jeune homme conscient de se qu'il fait. J'obtiens la somme de deux produits, embrassée par l'envie d'être heureux. De devenir ce que je rêve de devenir, un homme heureux. On est libre qu'heureux, On est heureux qu'en étant soi. Et je veux, oui je veux bien être là, avec elle;
Je gravirai les montagnes, je survivrai à la dame blanche, je resterai conscient face a la lumière de Dieu.

Sautez une ligne, tournez la page, alinéa a droite, trois points de suspension, c'est le début.

10.03.2008

Chapitre I


I ; Lux Aeterna 1991.