12.16.2009

Et maintenant, comment te sens tu ?


" Jordi ? "

Ce ne sera qu'un parfois, un parfois sans raison, un parfois sans concession. Je ne suis pas de ce qui s'entraine, qui se prepare avant l'orage. Fonce sans reflechir, et reflechie sans foncer. C'est toujours cette opposition qui l'emporte sans m'apporter aucune réponse. Et je " regarde a travers la vitre ", mais que m'arrive t'il ? Je ne sais pas, peut etre le faite d'être loin, d'être seul a comprendre ce qui se passe dans ma foutue tête, " Essaye de trouver une réponse." Mais où est elle ? Combien de tout ça est reel, a jamais. Je ne suis pas de ce qui se defile devant la réalité, devant ce qui m'effraie le plus. Le changement. Comment ne pas changer, je demande, je me le demande. Et il y cette stupide musique qui me reste dans la tête. La vitre est toujours là, vitre glacé. Glacé par l'harmonie, l'harmonie de ce passé. Ce " ce fus parfait ", mais combien de temps est passé, combien de temps est on passé seul assis? Assis sur ce canapé, sans comprendre ce qui nous arrivait. Je sais maintenant. C'est une urgence, un manque sans vie. Il se meurt sans interpretation finale. L'attente, de ce temps qui ne durera plus. Un chiffre qui defile chaque jour de Dieu, qui decroit, a n'en arriver qu'a la nulité, un Zéro.


Et maintenant, jusqu'aux Lendemains Bleues de Juin.
Allons, parfois. Pard...