1.31.2009







« Changement de programme. »









1.30.2009


Et voila, c'est repartie. On ne dit " jamais" pour longtemps, c'est bien ainsi ce que je remarque en ce moment. On court, on se demande si tout vas bien. Puis on attends. On attend que cela nous tombe la main ouverte. Le seul mot en ce moment c'est patiente. Je retrouve en moi, des émotions que je pensais conjurées, vendus, irrécupérables. Seulement voila, il y aura toujours un sentiment pour faire ressentir les autres. La haine engendre l'amour, l'amour la passion, la passion la haine, et roulez jeunesse. C'est juste un long déroulement de l'infinie.
Vous vous demandez surement pourquoi je recommence a ecrire aprés mes dires, simplement parce que je ne tiens pas. Simplement parce que un sentiments est revenue en moi.
J'attends, je patiente. Aller, roule jeune homme. Jusqu'à que tu perdes ce que tu regagnes chaque fois.

Le truc c'est que c'est trop tard.

1.26.2009



J'arrete d'ecrire. C'est immonde.

End of « CLXXXVI » Days.
DAYS « CLXXXVI »


Déclenchement dans peu de temps, j'attends. Sourires fatidiques, j'antipatique. Dis moi quelque chose, tu prends la pose.
Je n'ai jamais vu cela, tant de souplesse et de justesse dans un moment.
C'est la cruelle vengeance des Amants, celle qui te mène vers l'immortel. Aujourd'hui j'ai déduis que l'immortel existe. Demain j'en déduirais que c'est impossible.
Connaissez vous la théorie du moment, les instants communs se font sans anéantissement, ceux importants se font lentement. Putain mais vit. Elle s'ouvre doucement sans faire de faux pas, je regarde attentivement, puis change de point de regard. Mais c'est déjà oublier qui je serais, ne change pas. Regarde la.
Rien, ...


1.24.2009


« Je marche. Ainsi je m'évanouis dans ce qui doit être ce "sur moi". La solitude ne pèse en rien, elle ne me tarde pas, soit ce qu'elle fut. Et pourtant les pensées qui m'assaillent à fourches et piquets n'entrent pas dans relation que j'entretiens avec moi même. Tout devient idyllique, j'entreprends la marche consciencieuse. Rien, m'attire, mon attention, seulement leur maux cristallisés dans la matière grise. Arrête , fume. Continue le chemin est tortueux. C'est amusant, tellement amusant dicté. Si embrouillé de vide.

Maintenant. »
Traité d'un pacte contre naturel, CCLVI.

MONTHS«VII» DAYS«VI»




1.22.2009


C'est en essayant de comprendre que généralement on se perd. Pourtant il m'est impossible de concevoir pouvoir différencier ces deux notions, pour moi comprendre c'est perdre. Expliquer en devient mourir, ce n'est pas que je sois triste ou que l'emprise de cette émotions me fasse perdre mes moyens. C'est simplement que je ne veux plus comprendre pourquoi. Savoir, éduquer, entendre sont synonme de perdition totale et incomparable face a tout ce qui m'entour. Essentiellement elle. Pourquoi suis je comme ça a son egard, pourquoi mon conscient se prolonge dans l'irrationel? Je trouve en cela tout ce que je n'aurais jamais eu en quelque année. Un brevage, un elexir, une boisson non alcoolisé qui se formerai à deux cents cinquante six émotions. La Passionata, redoubler de prudence quand celle ci te tombe dans le couloir. Ne te defile pas, reste. Compliqué et pourtant si simple. Je ne suis pas de ceux qui apprehenderai ce genre de relations individuelle a deux, je suis de ceux qui ne comprendrons jamais ce qu'est l'individualisme primaire, et sauvage. Je me suis dans toute mes reflection, j'entend toute les paroles, tout ces chiffres qui crient au seul regard que je leur porte. Puis soudain le hasard vient boulversé toute cette rationalité qui m'avais jusqu'alors diriger. Prise de conscience, il est 17h. Mise en examen, 18h. Bonsoir, nous sommes le 22 janvier.


1.21.2009




Que m'arrive t'il?
Je n'arrive plus a ecrire sans que la musique m'accompagne. C'est insensé, impensable,les mots ne rime plus en moi comme au paravent, je suis dénudé de mon esprit critique, placide face au gens, inconscient de mes actes.





1.16.2009

C'est le culte du D.V.&.O, la fascination, l'abréviation de toute sensation en quatre minutes et treize seconde. L'absolution de la vie, l'aliénation de sa transformation. L'abjection du ressentie. Je bois le son comme un cocktail fraicheur, brute en son état, et cassant en son sens.


Je me reveille, me penche vers mes mains qui viennent soutenir ma tête encore chaude de rêve. Je m'émoustille les cheveux, ferme les yeux. Et c'est partie. "It's always the same, always the same story. " Le samedi je vie comme un puant troglodyte, ma douche m'eveille comme le ferais 2:56.
"It's all 'bout membership", c'est juste que je cours vers ce club. J'attends là, La. Aller, j'entends le son de dehors, "ugly girls and boys" sont bien là, La.
C'est simplement quatre putain de lettre capital imprimé d'or.


1.14.2009


" Welcomes to British Columbia's Lullaby, my dear Modesto.
Now, you need to be pleasant. "

CCLVI

1.11.2009

Bonne à rien.

Mais tu me casses de rire, chérie. Aller remballe moi ces bas résilles et prend tes cheveux autour de ton petit minois que je vois tes progrès.

1.10.2009



Welcomes Baby.
№XI℮

1.08.2009


« Le seul constructeur automobile qui me fait trembler c'est Citroën »
Barnaby Grants




Putain aidez moi je deviens félé.

1.04.2009


C'est la course, a quoi va savoir.

1.01.2009



Les paillettes, les robes de soirée, les déguisements, les danses d'amour cannibale. L'enchainement.
Je me réveille, me dis que cette journée ne va pas être facile. Ce rouge a lèvres qui avait marqué mes lèvres la nuit précédente était encore présent, et il ne risquait en rien de partir de mon esprit. Quelle chose ais je fait là? " Embrasse moi." Son regard ivre changea en un regard d'interrogation. " Vient ". Elle me prit par le bras, et posa sa bouche contre la mienne: Douce réalité des choses. Comment ais je fait cela? En bon homme ivre que j'etais je lui dis que ce n'etait rien. Pourtant la realité n'etait pas aussi simple : création d'un autre genre. ( Nothing: The sky was pink ) Si quelque chose ne va pas, si quelque chose aller a foiré, si quelque chose venait nous empecher de rester ou de partir; Alors ce serait une fin. Le Modesto traumatisé revient en hurlant de bonheur, même si ses paroles sont faibles, insinifiantes, et depourvues d'idée. Sa peau, son regard, son sourir, tout est pure; En vient meme sa façon de parler. Où suis je? Dans mon lit, je dors, je rêve? " Attends il faut que je m'assure que ce soit bien reel : 2+2... 4 ! C'est bizzare."/" Arrete de dire Bizzare. "


"Du rêve, De la lune, De la poussiére d'étoiles, Des papillons au crépuscule"