12.29.2008


Tu pars en sachant que tu ne reviendras pas. Tu laisses sur la banquette arriere toutes ces putains de frites saucées barbecue, tu sors de cette caisse en laissant tout. Là, sur le trotoire tu rencontres celle a qui tu t'attendais le moins, ta putain de daronne qui te raconte mille et une conneries sur le faite que tu ais laissé le CheeseBurger sur le tableau de bord. " Putain mais conasse ça t'arrive de la fermer ? " te sors de la bouche tel un jet d'acide de l'araignée. En suivant tu la baffes, et tu lui dis encore une fois d'aller se faire mettre par son mari. En descant la 21eme, tu te rends compte que t'es pas du tout à Maryland Avenue prés de l'Arboretum National des USA, " Pute de Washington, si je la trouve jl'encule ". Tu cherches desesperement un endroit où boire un putain soda frais, mais cette envie s'echappe vite quand à la vu du beau fessier de la black qui passe deriere toi. " Fuck it " te vient a l'esprit. Pourquoi tu te retrouves là, tu sais pas mais tu sais que tu y es. Pourquoi es tu grossier, tu le sais encore moins mais ça t'aide a rester con. Et finalement tu te dis qu'etre inscouscient au point où tu en es c'est plus important. T'as le salaire d'un chef d'Etat Africain, tu sors d'une université renonmé, et en plus ta fiancé c'est la fille du président des Etats Unis d'Amerique. Alors a quoi bon?
CCLVI

12.27.2008


Vous connaissez?


Enfaite j'avais raison, ne pas se mentir : être droit, être déterminé, et confiant. Aujourd'hui j'ai appris cela. Demain j'apprendrais à le rester. Je suis sur que l'effet boeuf qu'elle me fait aura des repercution. Trois, quatre, cinq et s'en suit. Elle m'ecrivit tout le chemin. C'est la même en tout. Le debut et le meme, le pré début est le meme. Expliquez moi, je veux comprendre pourquoi je suis devenu comme ça? Mens, mens, mens. MENS! J'ai dus me dir un truc. De ce style là a mes -4ans. Comment je sais pas, en tout cas j'en suis venu a me mentir a moi même et a mentir a mon mensonges, surtout d'y croire. On croit tous en soi, raisonablement certe, certains moin et tombe dans la deprime, ou font un tas de chose complement inscncé. Je pars, je m'eloigne, "CCLVI", " 28469" et j'en passe. Inscouciant ou déterminé il faut remettre a ce qui est son proprietaire. L'aimé? Je suis sec. Aprécié? Comprendre. Choisir? Finit. Changé? Aprécié. S'enchaine et se relate, tels sont les salopard qui se sont inicié dans ma salope de saloparde de vie .

Demain, je mes en pratique.

12.20.2008


Réfléchis s'y.
Bonne chance.


PS : Ne m'en veux pas.

12.16.2008



"Nondum amabam, et amare amabam"

" - On se lance, aujourd'hui j'ai appris que surement je partirai ( courant juin, juillet ) au Canada toute l'année 2010 - Je sais les chiffres ont de l'importance, si vous êtes comme moi un un pété du crâne - Mais allons ne cherchons pas midi a quatorze heures. Je ne suis sûr qu'a 59%. Et puis, il faut bien que je me détache de tout avant de partir a Paris. Vous avez beau lire les conneries insensées que j'écris ( Et puis de toute façon qui les lisent? Personne même pas moi. ) il y aura toujours une parenthèse. On s'en balance, c'est bientôt la fin. Le blanc, c'est pour la neige. La musique, c'est pour le "fun". Mais putain arretez vos debilités les mecs, c'est trop bon quoi. Ecoutez moi ça. Vous savez un jour mon grand père m'avait dit qu'il faut attendre que les radis poussent pour pouvoir les donner a manger aux humains, dans ce cas là, c'est exactement la même chose.
Imaginons que je sois le radis, je pousse. Aller je mesure a tout peter 1m76, beh voyez vous, je suis prés a aller m'engraisser chez ces tarlouse de Canadiens. Non, il ne faut pas dire ça. Ils sont aimables et tout pleins de joie.
- Allons on s'en contrebalance de tes envies Modesto, dégage."

02h56.

12.14.2008


Je touche a des sujets sensibles au fond de moi, ils se comptent au nombre de 3.

Le premier est le péché de gourmandise, celui qui me dis que sans je ne serai plus rien. C'est tout pour moi. Je l'ai déjà gouté, mais j'en veux toujours plus. Ce gout est si savoureux que j'en redemandes chaque samedi soir.

Le second est le péché de l'avarice, celui qui me dis qu'avec je serais mieux. C'est bien mieu pour cela que j'attends. J'ai envie de le déguster, mais je ne peux pas encore. Ce gout je le sens venir en moi chaque jour de la semaine.

Le troisième est le péché de la luxure, celui qui me dis qu'avec ça serait parfait. C'est mieux mais difficile c'est pour cela qui je me pose des questions. J'ai les yeux pétillants de bonheur à vue chaque fois que tu la croises.



2+5-6=1
2-5+6=3
2+5+6=13.
Maudit soit ces chiffres.

Mario et Luigi, bons amis.
La laideur ne fait pas tout, elle est juste superficielle.

12.11.2008

C'est ce retour, celui que tout être humain attend. Celui du retour aux sources. Vous savez ce sentiment de déjà vu, celui qui vous entraine dans les méandres de la stupidité et de la niaiserie.
Celui qui vous berce inconditionnellement dans la beauté de la chose. C'est comme un flashback mais avec des ingrédients différents, à la place la mer et des soirées - c'est la route et les après midi. Peut être différents mais vous savez au fond de vous que vous serez toujours là pour entreprendre la même chose : grandir, murir, sourir. A elle surtout.

12.09.2008

12.07.2008


Chose immatérielle, excrément de passion, coup d'éclair si lumineux. Tu n'y crois peut être pas, mais moi si. Qu'on me dise que ce n'est pas elle, que je ne mérite pas cela, que je dois trouver mieux; peut être. Mais enfaite surement pas, pourquoi aller contre son désire, ses plaisirs, ses envies les plus éphémères? Dis moi donc toi, qui ne crois pas a ce sentiment le pourquoi du comment je suis tombé là dedans? Si tu es si intelligent que ça, tu trouvera surement une réponse a mes questionnements. Encore une fois, je vous avertie. Je n'y suis pour pas grand chose quand l'amour se mêle aux regards et aux sensations de bien être. Le regard fait tout dans une relation, de A à Z, et de 0 à l'infini. On ne prétends à rien, on choisit tout; Tu a prétendu a mon soutien, j'ai choisis son regard.C'est un tout qui fait la chose - Rafale, pour plus tard.

Vultus est index animi.

12.02.2008

Qu'elle me regarde dans les yeux, je veux bien. Qu'elle me sourit, je veux bien. Qu'elle soit présente, je veux bien. Qu'elle me dise comment elle va, je veux bien. Qu'elle mange avec moi, je veux bien. Qu'elle m'embrasse, je veux bien. Qu'elle sache que je la trouve belle, je veux bien. Qu'elle m'observe quand je suis à table, je veux bien. Qu'elle soit timide, je veux bien. Qu'elle ne parle pas, je veux bien. Qu'elle soit joli, je veux bien. Qu'elle soit charmante, je veux bien. Qu'elle est un regard, je veux bien. Qu'elle m'interroge, je veux bien. Qu'elle rigole, je veux bien. Qu'elle ratrappe mes erreurs, je veux bien. Qu'elle s'accroche, je veux bien. Qu'elle s'illusionne, je veux bien. Qu'elle sorte de sa vie quotidienne, je veux bien. Qu'elle marche, je veux bien. Qu'elle respire, je veux bien. Qu'elle écoute, je veux bien. Qu'elle soit punit, je veux bien. Qu'elle ait peur, je veux bien. Qu'elle se sente nouvelle, je veux bien. Qu'elle lâche pas prise, je veux bien. Qu'elle galère, je veux bien. Qu'elle soit amoureuse, je veux bien. Qu'elle soit un rêve, je veux bien. Qu'elle soit ailleurs, je veux bien. Qu'elle aime, je veux bien. Qu'elle déteste, je veux bien. Qu'elle s'énerve, je veux bien. Qu'elle m'agresse, je veux bien. Qu'elle finisse, je veux bien. Je veux bien, qu'elle veuille bien.


Allez, on se lance.
Dieu prenait pitié de mon âme.

12.01.2008

Hostage Vol 2.


« Cela ne s'arrête, elle ne le lira jamais. Elle ne sait pas encore. Qui suis je pour parler?
Cela ne commence pas, il ne le faut surtout pas. Il ne sait plus où aller. Qui suis je alors pour voyager?
Refoutez moi en place, putain.
Sans fin, elle m'a éblouit. Peut-être un jour aurais je le droit de partager du temps avec elle.
Qui suis je alors pour parler de voyage? Qui suis je pour voyager vers ses paroles?
Sans but, elle l'a vu dans mon regard. Peut-être un jour comprendra telle que le regard me tue.

Peut-être... »

De Saturne à Venus ecrit par Anonyme le 05/06/1991.



11.30.2008

Hostage.


Comme-ci. Je n'avais jamais été là pour vous, je marchais seul; je déteste pourtant être seul. Comme-ci. J'avais toujours été là pour eux, je volais seul; j'adore alors être seul.

Délivrez moi, putain.


11.27.2008



Fantasmes.
20:01

11.25.2008

WHAT WE DO BEST




" J'adore me tester. Je me masque, ensuite je vous souris enfin je vous mens. Je suis sur que je ferai un bon commercial qui vendrai vos mères. Rions enfin, prions ensemble.
Dégagez-vous, vous êtes cernés. "

JJMMP

11.23.2008



« Vous croyez qu'un jour ça s'arrangera, je veux dire vous savez cette chose? Ce truc qui vous pousse a faire des conneries, depuis la nuit des temps; elle a pas changé cette bâtarde . Toujours la même créant la même folie chez les gens. Arrachant la raison aux raisonnés. Pommant les moutons sous les pommiers. Créant chez le créancier une dépendance autre qu'a son fric.
Vous imaginez comment c'est fou cette saloperie, on est toujours pas arrivé a la niqué. Elle nous baise sans cesse, a tout coins de rue, a tout moment. On se fais baisé en étant human. Je suis pas née pour me faire enculé a la première heure, c'était pas mentionné dans le contrat. Va falloir aller lui faire la peau a ce fils de pute qui nous a fait, j'en sais rien qui c'est mais y va y passer, croyais moi bien. De toute façon, maintenant c'est foutu. On est tous dans la merde et jusqu'au cul. Et puis va falloir faire avec, cette salope nous a pris, et je crois bien qu'elle nous prendra encore bien longtemps. Le gros con qui inventera un vaccin sera le plus grand connard de tout les temps. Parce qu'est ce qu'on se sent bien quand on est avec ce machin en soit. Après je dis ça je dis rien. Faut pas me prendre pour un de ces rebelles a deux balles qui parle d'elle comme si elle était la salope qui a sauté ma vie. De toute façon, jm'en branle de ce qu'elle pourra me faire, tar les jl'encule la névrosée. »


Extrait tiré de CCLVI ou Nikumuk écrit par un illustre inconnu.

11.21.2008

Modalité d'un traité.

Toulouse, le 21 Novembre. 23h58.
« Ne vous êtes vous jamais haïe vous même? Ce sentiments si affreux comme quoi « Oui », t'as fais une connerie. Tu te dis que t'es qu'un gros con, un gros sans gène, idiot, et qui pense qu'a son cul?


Putain mais t'as quoi dans le crâne Jordi? T'as quoi bon sang? C'est pas la premiere fois, espere juste que ça sera la derniere. Tu m'insupporte avec tes conneries, tes changements d'humeurs et des idiocis de jeunesse. Grandit, putain, grandit.Ce sentiment c'etait hier soir, et je veux plus jamais le revoir en toi Jordi.

T'es a vomir.»



Modesto
celui qui te connait mieux que quiquonque.


Toulouse, le 22 Novembre. 14h59.

« Ecoute toi, j'en ai mare que tu me poses des soucis. Si je suis comme ça, c'est bien de ta faute. Y'en a mare maintenant de tes appréciations sur ma vie, t'es toujours a me coller. Barre toi, je te dis tu me casse les couilles. Et ton avis, je m'en branle. Et si t'es pas content c'est la meme chose tu sais.
De toute façon, t'as toujours été le préféré, et ça depuis l'heure 00:00.
Alors casse toi de mon chemin.

T'es a chier. »



Jean-Marie
celui qui te châtie mieux que quiquonque.


Toulouse, le 23 Novembre. 13h18.

« Putain, on est pas dans la merde. Si vous commencez.
Vous êtes des zouaves. »


Jordi
celui qui s'enguele mieu que quiqonque.


11.20.2008


The Revenge Of Zombi.

Maintenant qu'on est face à face,
Il est temps de faire le point.
2vs2


Pardonnez leur mon père, car ils ne savent pas ce qu'ils font.

11.18.2008



Ce soir, j'ai mentis.
Oh, et pas que ce soir.


11.17.2008

« Et je danse sur la table comme si un Cow-Boy de l'espace aller me tirer sur les pieds :
" Dance, dance " qu'il chantait ce fils de pute. Je le pris par le cou et lui dit :
" Ecoute, ecoute " qu'il entendait cet abruti. Il me tira dessu et jm'etourdis :
" Pan, pan " qu'il me fit sentir le batard. Je me pris de douleur et cris :
" Aie, aie " que sentait il au fond de moi ?

Drole de repetition :

" Maintenant que tu as fais ça, t'es un homme mort, releve toi et jt'encule.
Releve toi et demain sera le jour de ta descente au enfer, assoupit toi et jt'marave.
Assoupit toi, t'es le premier être vivant a vivre le jugement dernier, crève. "


" Aprés que j'ai fais ça, je suis l'homme qui renait, je me releve et jt'enmerde.
Je me releve et hier était le jour où tout c'est passé, je me reveille et jt'enchaine.
Je me reveille, t'es le dernier a savoir ce qu'il en est reelement." »

En ce moment je sais pas vous, mais l'impression que j'ai des saisons sont trés defavorable. Un été chaud, un hiver qui refroidit. Vous me direz en général c'est ça, seulle chose a prendre en consideration.
3 Mots. 3Chiffres. 1Souvenir.

11.16.2008

Passage


« Il sort de ce bloc dans les mains de la plus grande des dames blanches, il cri, il aime crier, en ce moment c'est ça passion : il n'a que dix minutes et pourtant une passion le prend, l'inconscient joue son rôle. Posé. il n'est plus. Un duvet enfin recouvre son corps si frelle, si ferme. Fluctuat nec mergitur, il flotte sans être submergé.

Ses pensée fusent comme si ses cellules n'avaient pas finit de se constituer, elles partent dans tout les sens, elles se connectent, elles s'engagent dans des lieux inconnues alors, vint le moment clé. Elles passèrent la barrière du subconscient, Modesto dort. Il apprend alors la définition du mot rêve; chose si belle et si effrayante a la fois, il pourra rêver des pires abominations comme des plus belles parties de jambe en l'air. Mais l'heure n'est pas au sexe ou à l'horreur, il rêve d'un champ de blé d'orée comme il en verra dans les film a l'eau de rose vers ses 8ans. Celui-ci est dans le versant nord de la Colline de Creuse, il se réveille. »



Extrait de 256 ou La Perdition par Jordi, Jean-Marie, Modesto Pindado.

11.12.2008

Le petit Bal.


« Et pourtant.
Oui, pourtant je suis comme cela.
Un défaitiste avant retraite.
Un victorieux sans combat.
Un de ceux dont la raison ne représente plus rien.
Mais quand vas tu t'arrêter ?
Il te faut penser, t'énerver, méditer, comprendre, résister, abréger ou courir.

Réfléchit, réfléchit bien.
C'est pour bientôt. »


11.11.2008

Maintenant :

J'ai quel droit ?

11.09.2008


« J'ai la vue sur le ciel ce soir. »

11.06.2008




II ; Cura ut valeas 2000.

11.05.2008

Vous savez quoi?




Essayez toujours.

10.30.2008


« Elle m'anime et me calme. »

10.28.2008

Et ce soir...



...j'ai froid, je me rend compte que je suis abandonné. Seul au milieu de cette chienne de ville. Il me manque l'element essentiel pour avancé, liquide de merde. Amis ou pas Amis je ne sais plus, ce que je sais c'est que j'ai eu bien peur; Bien peur que ces fils me laissent reelement tomber,
"- On s'est endormit ".
Trop tard, c'etait déjà trop tard : Bande de fourbes.
Moi aussi je m'endormirai quand tu sera dehors, dans le froid, avec tes soucis. Il n'y a rien a faire que de ce prendre ça dans la gueule un bon coup de malaise. Les zombies avançaient comme des charognard dans les rues, je courais pour échaper a ces monstres, mais rien a faire, c'etait mon inconscient.

La Deception tout simplement - sentiment d'abandon et de haine envers ceux que tu as tant chéri - merci a vous pour ce moment qui est gravé dans ma saloperie de nuit.


THE CULT OF THE ZOMBI.

10.25.2008

On croit.


« Je ne suis pas celui que tu penses. »

" - Je crois entendre les chants des oiseaux.
-Oublie les.
- J'aperçois au loin les joies des enfants.
-Oublie les.
-Je pense y arriver.
-Certainement pas. "

GoldFinger, the Ki55 of death.
25/08 = 3.1


10.20.2008

Equation à deux inconnues.



Et c'est par l'inconscient que j'avance, une putain d'ambiance à la soirée - j'ai trop craqué - je me rechauffa au grés du feu, en ecoutant mon beat préféré. Ce salot m'a enculé sec, je commençait juste a me remettre mon dernier deal avec Mr.Oizo, coke sucker !
La journée qui suit fut un défoulement de toutes les sensations imaginables sur Terre, cette drogue m'a fait un effet boeuf - elle produit en moi la meme vibration que celle de Tetris - je monta au 13eme ciel.
Badant trop, je me suis dit qu'un petit retour a la case dealer me ferait du bien, 256€ de pure Weeds Beat bien méchante. Démonté par la sono, je rentrais chez moi comme un enfant qui avait perdu toute joie de ne pas vivre - Putain mais tu vas la vivre la vie ?!

Ce soir, c'est la chiste au complet.

10.16.2008

Les Appartements.


Et c'est repartie, j'entendis au tournant du couloir : " un plafond trop haut ,et une lumiere rouge pour la chambre n°13 ! " Quelle idée de gothique !
Cette piole était gargantuesque - décoré d'objet les plus subtils les uns que les autres, un parquet qui craquait , des boites à chaussure par milliers, et des chandeliers. - mais elle restait très blanche quoique quelque peu Mariniere.
Le truc : la tranche de patte a tartiné chocolaté sur le bureau, et cette vue sur des Chars D'assaut des Force de L'ordre.
Certes Karl était là.

10.13.2008





C'est comme une remise a l'épreuve, putain mais mec, tu captes? Tout ça c'est historique.

Complément fou, je passe du statut de vieux gueulard à la fresque sociale, merde alors, je m'en tire comment? Tu passes ta vie a rien comprendre, tu passes tes journées dans les sentiers battus de la ville a te lamenter de tes salles histoire de cul, prend le temps de prendre l'air et de te sécher les cheveux a coup de serviette Dior.
Non, sérieusement, tu vois la prochaine sortie a droite, prend là - tu comprendras mieux quand tout sera finit entre toi et elle - abrège tes souffrances. Je suis d'une hystérie, d'une connerie, qui m'enduit de plaisir, tu pourras toujours ragoter avec ta langue de vipère prost.
Je sais ma musique, vaux pas une miette, mais je te prend en levrette, même si je deteste. Aller sincerement Dégage creuvard.

( Ne pas prendre au pied de la lettre,
je suis heureux,
oh oui. )

Edit du 14 Octobre 2008 : Enfaite non rien.

10.11.2008

Marche, mais evite.


Cette nuit, je marche auprès d'elle, je galope car elle court. Elle accélère le pas, cadence, fréquence, alternance, et stop. Rupture. Silence.
Reprise de conscience il faut avancer pour être là, puis là-bas; et finir là.

Cette nuit, j'entends celle-là, j'écoute car elle chuchote. Elle ris, mais elle le fuit, vit,
poursuit, et finit. Gravure. Angoisse.
Reprise de conscience il faut avancer pour apprendre, et comprendre.

Cette nuit, cette nuit, méandre de sens; méandre d'absence, et d'infinie.


'ΛVJO,



10.06.2008

Attentat à la Ag+1.


Et ainsi se fit, ainsi je vis les gens soucieux de leur fausses idées. Je ne suis pas une bête, juste un jeune homme conscient de se qu'il fait. J'obtiens la somme de deux produits, embrassée par l'envie d'être heureux. De devenir ce que je rêve de devenir, un homme heureux. On est libre qu'heureux, On est heureux qu'en étant soi. Et je veux, oui je veux bien être là, avec elle;
Je gravirai les montagnes, je survivrai à la dame blanche, je resterai conscient face a la lumière de Dieu.

Sautez une ligne, tournez la page, alinéa a droite, trois points de suspension, c'est le début.

10.03.2008

Chapitre I


I ; Lux Aeterna 1991.

9.30.2008

9.28.2008

" Je me perdrai ...

... dans les méandre de la délicatesse et du mensonge, je n'aime pas ça.
Ces personnes sont mes amis, mais pour combien de temps?
Je ne suis pas une personne fixé, attaché, attachante, clémente.
Ce Rap qui berce mes journées au rythme des oscillations des beats d'electro me laisse perplexe face a leur compréhension. Je suis comme toi ma chère Agathe, tourmenté par le sens de la jeunesse;
On est bien seule a voir ce qui ne vas pas chez eux, et cela continue de paire quand leur erreurs se répètent mais que nos valeurs de gentillesse moral les laissent sans voix, sans pensée, sans idées, sans vu; Nous sommes bien seul face a ce problème.
Le résoudre, non, bien sur que non, cela serait trop mechant de leur dire ce que l'on pense, il faut qu'il le voit? Oui, bien sur que oui, mais il ne le voit pas; est ce parce qu'ils sont occupée avec les autres membres, ou est ce parce qu'ils sont trop ignorant pour voir la dérision de nos esprits quand nous nous retrouvons seul?

18minutes plus tard, on sera les même a 18idées prete; 256.

9.18.2008

Emotions for Boyz.


Il n'en ai pas moins que je ne puisse comprendre de ce que je pourrais ressentir - la senteur, la vision, le toucher - de sa peau qui serait si agréable . C'est de la folie qui se faufile entre mes émotions, je ne comprend pas, c'est devenu une obsessions de faire abstraction des futilités pour me focaliser dessus. Si beau que j'en perd mes moyens, j'en devient fou; fou de bonheur, de joie. Il y a longtemps que cette impression ne mettait pas parvenu en si belle quantité qualitative. C'est La plus émotive des drogues psychologiques et physiques que son nez, sa bouche, sa peau, ses cheveux, son corps entier. La passion de la sensualité et la Bourgeoisie des beautés.
Si la folie me fais perdre ce Sixième Sens, je renierais a la mort l'appartenance de la beauté féminine pour me consacré a la voie de dieu et son charme d'illusion.Le désirs de ces chants ennuyeux, attirent tous ce qui pourrait être vivant en moi, je ne rentre plus dans une autre dimension juste dans celle de la Passionata. Des fourmis entrent en moi comme des filaments de sensations, mon doigt est bloqué sur la touche L.

Que son nom soit sanctifié sur ma peau comme aux cieux.






9.15.2008

Il n'y aura pas de fessée sans prise de conscience.

Modesto a prit une décision.
Celle du silence, on prend un chien pour un chien.

Modesto a prit une part du gâteau.
Celle minuscule, on prend un âne pour un âne.

Modesto a prit une dérision.
Celle de comprendre, on prend une bête pour une bête.

Modesto arête de parler, il a prit la voie du vide.


9.01.2008

Recidive


Je vais ainsi parler pendant un bon moment.
Les choses se font et ne se racontent plus.
Elles s'enduisent d'un produit malsain ici, dans la ville.
Comme certaines fois, où l'on ferait mieux de rester dans son lit avec son plateau petit déjeuné.
J'entends de partout des choses et d'autres, cela est plutôt frustrant.

Dance encore puis arête toi d'un seul et même pied d'estalle, je vois puis, j'acclame.
Il me serait indifférent de savoir quelle chaleur pourrait se dégager de mon âme.
Je lui dis au revoir, puis je passe a la vitesse R ( Récidive ).

Tout s'enclenche en harmonie parfaite, le jour, la sieste, le soir, la nuit, l'aube, le matin; mais c'est par la suite que tout ce perd.
Tout, pour des minimales plus grosse qu'une pastesque aromatisé au soleil de l'espagne, j'attends les hollandaises.

Comment s'y retrouver?
Comment s'entendre, dans une bouillit pareil, j'entends, un seul mot : Récidive.



Que son nom soit sanctifié.

8.27.2008

Anciant.


Et d'un coup, j'entends la brûlure me crier a l'oreille.
C'est ainsi qu'on remerci un homme doué d'un sens de la delicatesse tel Jean Marie?
Modesto redoute.
Et se prepare a la 666.


Au nom du père, du fils, et du saint esprit. A.

8.08.2008

La drolerie va cesser.


« Entends tu les branches des arbres grincer sous le poids du vent ?
Sens tu le sol rentrer dans tes hanches sous le poids de l'homme ?
Goutes tu cette odeur naturelle tombée des cieux ancestraux ? »



"Modesto n'oublies pas le ventaliteur ! Il est resté allumé toute la journée ! "

8.03.2008

Reveil...


... fut brutal.

7.30.2008

La suite

" Fleurissante "

Tu te reveilles auprés d'elles.
Et tu sens que quelque chose va changer, tu comprends la suite?
Il arrive parfais que le choix soit un choix sans reponse.
Comment savoir, si la bougies brulera tel la gelé de grand maman?
C'est simple, les dinosaurus vont aider tout ça.


Mon choix est fait.
3




7.11.2008

J'ai besoin d'un repos de guerre.




Trop longtemps, trop de moments, c'est long. 
Je ne veux que votre bien, je prepare mes sous, et attends un bon instant. Je le tien enfin, j'anonce mon été iddylique. ( Le premier venant foutre son foutre dans ma casba, va surement recevoir les foudres de Poseidon. )
Merci, de me faire passer un été en votre compagnie burlesque.

Aujourd'hui, je suis en autonomie parfaite avec mon esprit de competition solitaire, l'été moment de reflection interieur. 




Adieu.


photo: Trent Park

6.29.2008

La connaissance permet.





2-5=-3 2+6=8 -3=8

  • Retranscrit par la ville, la population se demande la carence en eaux du Brasil. Ne sachant quoi répondre aux interrogations données le 06/06/08, le président français prend en compte la démarche administrative de l'ethnie améro-anglais, dans le seul but de prouver au monde sa suprématie.
Le sujet suivant s'adresse aux quarts des personnes auditionnées, le problème étant que personne ne comprend un quart de ce que je dis. il est fort probable que durant cette instruction maléfique dieu propose a la moitié d'entre vous, "car?"
Il est certain qu'un tier de cette moitié forme un 5, signe de coupure entrainant, la sainte reprise en main des corbeaux.
Emprise sur le monde, ou emprise sur la chine. Je ne sais pourquoi, certaines de nos journées passées entre amis deviennent un tel honneurs, il est soulageant de savoir qu'on peut compter sur beaucoup d'entre eux, certains même sache que les choses sont en train de ce dérouler avec délicatesse.
Cependant, une personne a vu, l'a vu, l'a compris au plus profond de l'âme, que surement il est exagéré d'apprendre a quiconque ne boit soit dans la narration logique des choses, il ne se déroule que 8 événements dans la vie, elle comprend entre autre les chiffres, les chiffres, et les nombres.

  • Si 256 est un chiffre si existentiel pour ma part c'est qu'il se forme en 3 partie seulement 2-6 ne fait pas 3, et 2-5 fait -3. Il est question ici, d'une étude précise sur ce nombre, il obsède tant de mes humeurs, cette heure la fut magique, comment peut-on oublier un moment pareil?
Si cette heure, ce jour, ce moment, n'était ancré dans mon esprit que pour des dizaines de jours la vie s'en serait passé, hors il est probable que la moitié des gens même une seule personne ne réalise vraiment ce fait.
Il n'est point image d'être ou d'absolutisme émotionnels, il est simplement question d'une musique qui me berce suivant sa mélodie calomnieuses, je crois voir, je crois entendre, mais qu'est qui est réellement la suite?
Suis je a la limite des choses, a la compréhension totale, ou simplement a l'analyse imparfaite et stupide de mon être.
Peut être ai je trop bu, peut être ai je simplement compris.
La réalité est parfaite, bien loin de ce que l'on ne pense, règle n°3.

Oui je suis a toi.


  • Saluant dans mes pensées aristocrate, j'enchaine avec la buvette horrifié.
Je ne suis point timide, suis je content.
Ce n'est ni une question ni une affirmation, je n'ai rien a prouvé, rien a decrire. Vous ne voyez pas? C'est simple.

Oui, je suis a toi.

Et voila que sa repars dans un sens terriblement différent la musique change, les gens bougent je ne suis plus chez moi , seulement en train de savoir.

  • Tu sais? Monosyllabique.
Coprophagies - Affreux.?
Raconte ton argumentation pour la suite des évènement, car c'est a ce moment là que le sphinx écrira a ton sujet les notation capital a ton être similaire au mien, nous.
Nous Captivons tous, cultivons tous, sachons tous.
Mais toi?

T'es fou? Je crois que je suis pété, c'est fun.

6.25.2008

F.E.A.R



On ne peut être a deux endroit a la fois
c'est ce que m'a enseigné VIE.