La Patience, La Parole. Le Regard, Le Jeu d'Atmosphère. L'hiver,et puis L'Heure.

Tu traines les pieds silencieusement, n'en moins sans savoir le pourquoi. La personne qui t'accompagne n'est pas vraiment là depuis longtemps. Ni le meme que d'habitude. Mais dorénavant tu imagines ce qu'il pense de toi. C'est le genre d'homme pas très net, dont les paroles ne ressemblent plus vraiment à grand chose. Tu crois peut être trop de chose a son sujet d'ailleurs. Tu sais plus pourquoi tu es avec, mais vraisemblablement c'est ce parce que.

Tu attends, il parle. Tu regardes autour de toi, les jambes croisées. Tu as froid, il est tard.

La journée que tu as passé en sa compagnie était nul: ni bien, ni mauvaise. Tu as perdu quelque chose, il le vois. Il est clair que maintenant il est l'heure de rentrée, allons ne fais pas cette tête. Puis aujourd'hui tu ne le raccompagnes pas, c'est ce parce que.

La Patience, La Parole. Le Regard, Le Jeu d'Atmosphère. L'hiver,et puis L'Heure.

Il lui n'aime pas les gens, il entends trop d'attente. Il pèse le pour et le contre de tout. Ce gamin là, il adore ça. Il passe son temps, a sa fixation. Son intrigue, la capitulation de l'ame, puis le rien.
Imagine.

Le temps passera, tu sera obligée d'obliger, pense s'y.

Feeling Gaad.

Tout partira avec le temps, ce Passage. Il me faut bien écrire pour me convaincre que je ne suis pas en déclin. Je ne fais plus de rime, je ne cherche pas de lien. J'écris pour rester en vie. "Bientôt", il me faudra laisser une trace réelle, pas un écran blanc. Tout restera alors. Encore faudra t il que je me dépêche. Je ne déprime plus, je ne ressens plus qu'un sentiment extérieure: surement une frustration. Celle de ne plus savoir, puis celle de rencontrer, commenter, papoter, et surtout croire.
"Bientôt", je serais Prêtre. Je ne marcherais plus seul dans les rues le soir. Je ne boirais plus a en crever. J'attends ma "Lullaby", voir la lui chanter. "Bientôt" il sera temps pour moi de partir, de ne plus savoir ce que font les gens le soir. Je marcherai alors seul loin. Ce passage là, ne doit pas s'effacer, c'est le changement qui est progressif. Il opère seul, et le stopper n'arrangerai pas vraiment les choses. Il va bien falloir le laisser faire. "Bientôt", je vivrai avec une autre personne. Où est il celui qui avait le sentiment de tout perdre, de n'avoir jamais eu qu'une seule chose. Promesse.Certes c'est toujours délicat le conflit intérieur et puis toi revient nous. S'en est fait de toute conscience, le temps de l'enclin est dépassé, usé.
"Bientot" il sera temps. Aller file, vole, galope, hennit.


" L'intentionnel est surtout dans le titre." Mon passé n'était qu'un élan de folie.

Scared VII

Sylvain Claverson - The Sacrifice


Il n'y aura rien ce monde qui me fera perdre l'objet de ma conscience actuelle. Même si elle part, elle reviendra. Elle sait que son nom est gravé sur mes phalange, que son foyer le plus clément est au fond de mon corps, que ma chaleur est son énergie. J'en suis persuadé. Pourtant, momentanément, je ne la trouve pas. Elle n'est plus, déclenchant un effet domino. Ils tombent un à un. Mon esprit en pâtit, jusqu'en perdre la raison, l'imagination, la clémence, la gentillesse, la gaieté.
J'attends qu'elle revienne comme j'attends qu'elle reparte, elle reviendra...
Je vous présente : Espoir, vous. Vous, Espoir.

Why, why not?
Cette ligne, est le reflet totale de l'inconstance de mon esprit.
Pardonnez moi, je suis et resterai confus.

En attendant ...

Je n'en éprouve plus le besoin, je suis marbré. Je sens ce silence encadrer ces nuits, puis j'attends. Je n'ai rien avoir avec tout cela. Juste mon Instinct. Celui qui a fait que tout démarre, elle ne lit plus. Elle attends elle aussi. Je ne sais pas vraiment quoi, que le temps passe surement. Comment faire alors? Je ressens ce genre de chose a des kilomètres a la ronde. Ne me laisse pas, non on ne te laissera pas. Je sais que ce sont des mots tapés sur un écran blanc, mais pourtant je le pense. La règle du jeu était bien claire. Moi, mais il y a des conditions a ce moi. Cela ne dure qu'au maximum 5 mois. Cela commence en février, puis se finirai en Juin.
Commençons alors deja par voir les regles du jeu du tout a chaqu'un.
Je ne regarde pas, je ne touche pas, et j'attends.
Puis viendra ce que viendra, je ne l'attends qu'avec trés peu d'engoument, voir du dégout. Et pourtant c'est tellement beau. Je ne pourrai jamais te connaitre, déja qu'il faudrait que je me connaisse un minimum.
Plus tard... pour l'instant c'est célé.

Maintenant que la chance m'est passée sur le corps, rien n'est plus du destin. J'abrège silencieusement ce qui pourrait être un désir irréel. Je ne comprend pas, et je ne comprendrais surement pas ce qu'il y a en moi pour décrassé de telle situation.
Faites moi plaisir la prochaine fois, donnez moi dix claques et renvoyez moi chez moi.

Je la vois à coté de moi, en me disant que ce n'est vraiment pas possible. Que le malin génie se fou de moi comme il se foutrait de Descartes. J'entends son souffle et sa voie qui étends des paroles : " Pourquoi ? ".
Comment voulez vous expliquer ce qui appartient à la nature même d'une personne. Si ce n'est qu'elle m'inspire, que sa peau, que sa voie, que son odeur, que son souffle, que son regard soit aussi particulier. Allez expliquer à un aveugle, le pourquoi du comment il sentirait ces vapeurs dociles et fabulatrices. iI ne l'expliquerait pas, il le vivrait sans rien dire tel l'aveugle qui en devient muet.

Rendez moi la parole, j'hallucine.

De toute façon, j'aime quand ça sature.Pourtant j'ai pas l'ossature, aller m'en voulait pas, mais ça risque d'être dur. Aujourd'hui c'était le rire nerveux, et demain...
C'est juste que j'oublie tout, je ne suis pas vraiment concentré, je vais finir par devenir fou.
L'effet à demi, m'empêche d'être. J'entreprends la création, l'annihilation, la stupéfaction. Chaque moment est un retour aux sources. L'habitude m'entraine vers la culture.
L'assimilation est une torture, après il y aura l'amure.

Vient, va , croit s'y.

« Changement de programme ? »

CCXXVI